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DU FRONT de L'EST à la GUERRE ISRAËL-IRAN où en est L'EUROPE ? |
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Du
front de l’Est à la guerre Israël-Iran, où en est
l’Europe ?
par Claude Maerten Alors que les
missiles balistiques tombent sur Israël et l’Iran faisant des dizaines de morts
civils de chaque côté, l’Europe privilégie la désescalade et la diplomatie,
mais l’unité reste fragile. Les États membres sont unis sur la nécessité
d’empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, mais réagissent différemment aux
actions militaires israéliennes. La France, l’Allemagne, l’Italie (et le
Royaume Uni) ont soutenu le droit d’Israël à se défendre. La Haute
Représentante Kaja Kallas a réaffirmé que la diplomatie est la seule voie et
que l’Europe est prête à jouer un rôle actif dans la recherche d’une solution
diplomatique. On s’attend à un
impact économique notable en Europe, avec la hausse des prix de l’énergie et
des risques de rupture des chaînes d’approvisionnement. La pression
inflationniste entrainerait un ralentissement de la croissance économique et
pourrait affecter le pouvoir d’achat. Ce risque de stagflation serait accru si
aucun accord commercial n’est trouvé entre les Etats-Unis et l’Europe à la fin
de la trêve sur les droits de douane le 9 juillet. Sur le front de
l’est, la commission européenne a proposé un 18ème train de sanctions contre la
Russie, qui devrait être à l’ordre du jour du Conseil européen des 26-27 juin
prochains. L’adoption se heurtera à nouveau à l’opposition de la Hongrie et
sans doute de la Slovaquie. Donald Trump n’est pas non plus favorable à de
nouvelles sanctions pour ne pas gêner des négociations. ___________________________________________________________________________________________________________________________
L’UE mise sur la
diplomatie face à l’escalade entre Israël et l’Iran :
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